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4 juin 2007 1 04 /06 /juin /2007 23:00
FH000008.JPG150 x 150              2007
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10 novembre 2005 4 10 /11 /novembre /2005 18:03

expo galerie gounod 2005 005

 " peintures 2003-2005 "  galerie isabelle gounod septembre-octobre 2005

parysexpo012.jpg

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5 juillet 2005 2 05 /07 /juillet /2005 20:46
Michel Parys atelier 024
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20 juin 2005 1 20 /06 /juin /2005 16:46

     Michel PARYS

               Vit et travaille à Paris

formation

Académie Charpentier

ensb-a Paris

 

  Sociétaire de la Fondation Taylor

 

 

Expositions personnelles

2018 - 69 rue Quincampoix, Paris

2016 - La Turbine, Sampigny les Maranges, 71

2012 - 2.13 pm, La Celle Saint Cloud, 92

            La vitrine de la librairie Liragif, Gif sur Yvette, 91

2011-  Espace Icare, Issy-les-Moulineaux, 92

             Mac Paris, espace Champerret, Paris

2011- 2008 - Galerie des Chaillioux, Saint-Boil,71

2005 Galerie Isabelle Gounod, Boulogne - Billancourt, 92

-         Domaine du Montcel, Jouy-en-Josas.

2005- 6 picoles / Galerie Passerelle, Lyon

2001- « Michel Parys », Espace Daniel Sorano et Centre Culturel G. Pompidou, Vincennes.

1999- « Choix d’un Amateur-Louis Bernard », Galerie Dominique Vivens, Paris.

1998- « Michel Parys-Peintures », Galerie Luc Queyrel, Paris.

1994- « Michel Parys », Galerie Point Rouge, Paris.

        - « Atelier Mémoire » (avec B. Hauwk), Issy-les-Moulineaux.

          - Ateliers d’Artistes (chez H. Steins, J. M. Pradel-Fraysse), Paris.

1992- « Michel Parys », Espace Confluences, Paris.

1991- « Papiers et Assemblages », Espace Paul Ricard, Paris.

1982- « Michel Parys, peintures et papiers », Hôtel Plamon, Sarlat.

1978- « Espace et Abstraction », Galerie La Pie, Saint-Maur-des Fossés.

 

Expositions collectives

2018    Collection Gautier &Co, Orangerie de Tourlières, Verrières le Buisson, 91

2016 - Collectif IK'ART, Espace Icare, Issy les Moulineaux, 92

           Réalités Nouvelles, Parc Floral, Paris

            Salon de Vaucresson, 92

            La Sévrienne des Arts, Sèvres, 92

            Salon de Garches, 92

 2015  la Sévrienne des Arts, Sèvres,92

           Grisy - code, à Grisy les Plâtres, 95

2014 - Réalités Nouvelles, Parc Floral, Paris

            Salon de Garches, 92

  2013  Le 111 des arts, Paris

2012 - Gautier & Co, Regard sur une collection, CAP Albert Chanot, Clamart 92

           La Sevrienne des arts, Sèvres

2011 - Le 111 des arts, Paris

            La Sévrienne des arts, Sèvres

2011 - Installons-nous, Habitons-le,CAP Albert Chanot, Clamart

2010- "Opération 4Z'arts (14è édition), CAP Albert chanot, Clamart

         Art-vo Cergy Pontoise

2OO9-Galerie Tristan, Issy les Moulineaux

2008- Galerie Tristan, Issy les Moulineaux

2008-" Opération 4Z'arts(12ème édition), Centre d'arts plastiques Albert Chanot, Clamart

2007 6 Picoles cycliques, en Résonance avec la biennale d'art contemporain de Lyon

         Parcours de l'art en Avignon, cloître Saint-Louis

         Passeport pour l'avenir, Grange du Faing, CACLB centre d'art contemporain du Luxembourg-belge, Jamoines

         Opérations 4Z'arts, CAP Albert Chanot, Clamart

2005 - « 6 Picoles cycliques», Galerie La Passerelle, Lyon.

2004- Espace Beaurepaire (avec Christine Canetti et Vincent Guzman), Paris.

2003- « Opération 4Z’arts» (7ème édition), Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart.

- « Chantiers d’Art » - Symposium de sculptures, Cunlhat - Haute-Loire.

2002 - « Desseins », Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart.

- « Opération 4Z’art » (6ème édition), Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart.

- « Michel Parys, Annie Brunetot et Philippe Seux », Centre d’Arts Plastiques Albert Chanot, Clamart.

-    Peintures, Actuel art, Paris.

2001- « Couleurs et papiers », Espace Louis Bernard, Polignac.

2000- Grands et Jeunes d’Aujourd’hui, Espace Branly, Paris.

1998- « Mais que le jaune est beau », Espace Paul Ricard, Paris.

        - « Urgences », Galerie Sud, Bagneux

1997- « Faites le printemps » (avec G. Venturelli, H. Bourdin, B. Tranchant, O. Angels,) La Réserve d’Aréa, Paris.

         - « Fauteuils », Espace Paul Ricard, Paris.

         - Salon d’Art Contemporain, Bagneux.

1996- « Peintures-Sculptures et Installations », Maison Bussel, Créteil.

        - « Tour de chauffe » (avec M. Pelloille, J. Brisse, C. Canetti, Callawart, Darles, Giai-Miniet, P. Mabille, J. Poli    B. Tranchant, G. Venturelli, H. Weiss, V. Verdeguer, T. Soulié), Nogent-sur-Marne. 

1995- Salon de Mai, Grand-Palais, Paris.

         -Mac 2000, Paris

1994- Itinéraires, Levallois Perret.

        - Salon d’Art Contemporain, Bagneux.

1993- "Hand-Art", Siège Groupe AXA, Paris.

       - Peintures-sculptures », Espace Nord-Sud, Clermont-Ferrand.

       - Salon de Mai, Grand-Palais, Paris.

       - Jeune Peinture-Jeune Sculpture, Centre Culturel, Courbevoie.

       - "Murmur, Grands Formats", Caen.

      - Salon de Montrouge

       -Mac2000, Paris

1992 - Salon des Réalités Nouvelles, Grand-Palais, Paris.

        - Grands et Jeunes d’Aujourd’hui, Grand-Palais, Paris.

        - Installation : « Lux », Créteil.

        - Salon d'arts plastiques, Marne laVallée

1991 - Installation : « L’Enfant métis », XIème Festival du Film de Femmes, Créteil.

       - « La peinture hongroise en Europe », Comm. Etude J. Tajan, CNIT - La Défense.

       - Grands et Jeunes d’Aujourd’hui, Grand-Palais, Paris.

       - Salon des Réalités Nouvelles, Grand-Palais, Paris.

1990- Salon de l’Affiche et des Arts de la rue, Grand-Palais, Paris.

1989- Ateliers Portes Ouvertes, Créteil.

1983- Novembre à Vitry, Vitry.

1982- « Travaux sur papier », Choisy-le-Roy.

        - 1ère Biennale d’Art Contemporain, Brest.

        - Novembre à Vitry, Vitry.

        - Salon de la Jeune Peinture, Vincennes.

1981- « Travaux sur papier », Villeparisis.

           Salon de la Jeune Peinture, Grand-Palais, Paris.

 

Résidences

2016  La Turbine, Sampigny les Maranges, 71

2003 - Chantiers d’Arts, Symposium de sculptures - Cunlhat (Haute-Loire).

2004 - Les Vendemniaires, Saint-Martin de Tréviers.

1998 - association La Source, La guéroulde

 

Collections

Fondation  Ricard.

Gautier & Co.

Ville de Clamart

Ville de Cunlhat

Ville de Saint-Martin de Tréviers

 

   Textes, publications, citations

  Sans titre, texte de Bernard Point, 2012

 - Michel Parys : L’Espace tressé, Bernard Pierron, 2001.

- les mots dans la peinture, Alain-georges Leduc

- Parys, une géométrie du baroque, Christian Eclimont, 1995.

- Le chemin de Parys, Domenico Ciffarelli, 1994.

- La géométrie poétique de Michel Parys, M. J. Minassian, 1993.

- Entretiens, avec M. J. Minassian, in l’ANE, 1992.

- Espace et Abstraction, Hubert Haddad, 1979.

- L'oeil, 2005

- Le mouvement dans la peinture, Daniel Lacomme, éd.Bordas

 

Médias...TV

Thé ou Café, Octobre 2017

Thé ou café, janvier 2014, invitée du jour , Sylvie Testud, comédienne

thé ou café, novembre 2011, invité du jour, Michel Serres, philosophe

 

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15 juin 2005 3 15 /06 /juin /2005 23:00

la peinture

l'observation de la nature, actuellement la forêt, ses arbres, les étangs et ce qui s' y reflète, ce qui s' y dépose à
 la surface - feuilles, nénuphars, lentilles; brindilles, débris de branches, insectes...
mais aussi pollution, résidus divers...

l'effet miroir - fluctuant, mais aussi stagnant

voila quelques éléments observés et dont le souvenir se traduit sur la toile non de
manière figurative mais par réminnicence de la mémoire.

De quelle manière?
De cette manière:

dans l'atelier
le chassis nu et la toile agraffée dessus
toile vierge de tout apprêt
la pose d'un premier enduit sur tout ou partie du tissu
plus tard, le premier geste, au sol, à plat, liant + pigment ( préparation artisanale )
du noir, du blanc, peu de couleur ou alors très pastelisée, bleu, rose, jaune

la toile traitée comme une aquarelle

le premier jet (geste), des passages successifs, sans repentirs
séances rapides,successives...la peinture se construit dans la durée
la peinture se pose, se dépose, se re-pose
et s'impose
striées de coups de brosses, taches controlées, flaques, chassisincliné, tourné, malmené
le souvenir de la vision initiale (impression) se transforme en une abstraction

pas d'effet, pas de spectacle
une sorte de haïku
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15 juin 2005 3 15 /06 /juin /2005 15:43

 Dans leur apparence même d’évidente simplicité les toiles et les papiers de Michel Parys constituent une sorte d’archi-peinture :

La couleur s’y déploie dans l’espace blanc, au gré du parcours des brosses, en libres  variations suivant un schéma générateur le plus souvent orthogonal .  Ainsi et sans tapage, elles renouvellent sous nos yeux le propos originel de la peinture toute entière, qu’on avait presqu’oublié à force d’interroger tel ou tel de ses aspects :  construire un espace qui traverse le temps.

 

Malgré une souplesse qui donne le sentiment de l’improvisation et nous en restitue la fraicheur, c’est bien à la riguer plastique d’un Mondrian que s’apparente cette opération génétique :  l’instauration d’un espace construit et complet reposant seulement sur la projection dominante des dimensions horizontales et verticales, qu’on peut imaginer se prolonger hors des limites qu’il s’est donné.

L’espace est donc le domaine, « l’affaire » de Michel Parys.  Sa manière même de se conformer aux plans et aux limites de la surface qu’il exède pourtant, se souvient des origines murales de la peinture et de son inscription dans l’architecture.

 

La lumineuse èvidence de sa peinture récente fait d’ailleurs suite à de nombreuses expérimentations intermédiaires entre peinture et structures / objets dans l’espace, qui « matérialisaient » l’organisation de l’espace et du sens.  Travaux plus littéralement architecturaux mais paradoxalement moins « complets » que la seule peinture.

 

Structures bois / papier, volumes, installations…   Autant de confrontations tentées entre un espace pictural esquissé ou déjà constitué et l’espace physique. Il n’est pas jusqu’au plus petits éléments, au cœur même du travail, qui n’ait fait l’objet d’un travail d’autonomisation et de spatialisation : lignes, plans, couleurs furent tous à un moment matérialisés par cette volonté de donner corps à l’abstraction dans une sorte de maquettisation généralisée ; Toute cette propédeutique, toutes ces formes transitoires ont donc finalement débouché sur la pure peinture que nous voyons aujourd’hui, son espace « naturel » et son apparente liberté ;

Une de ces formes transitoire liée tout d’abord au travail du papier, mais particulièrement chargée de sens et prémonitoire, a cependant traversé toute ces étapes au travers de résurgences diverses, jusqu’à affleurer en filigrane dans le travail le plus récent : il s’agit du « tressage ». Tressage orthogonal comme en font les enfants à partir de bandes de papier coloré, des deux dimensions de l’espace, horizontale et verticale, soit la réincarnation du damier au sol de Pierro della Francesca, qui nous rappelle qu’une fois le « tableau » rabattu à l’horizontale ( sous le tableau, la table ), verticales et profondeur sont une seule et même chose ;

Michel Parys, en redressant le damier de Pierro, « tresse » l’espace du tableau, et lui donne vie au travers des infinies variations qu’occasionnent abscences, bifurcations, tremblements ou repentirs, notamment dans les plus réussies de ses dernières toiles « aquarellées « .

 

                                                                                                  Bernard Pierron

                                                                                                 Octobre 2001

 

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15 juin 2005 3 15 /06 /juin /2005 15:43

On peut considérer le peintre avec un œil littéraire, comme si c’était un personnage de roman, ou imaginer l’artiste comme une figure consacrée essentiellement par sa création et son travail, sans les oripeaux de la vie profane : il nous semble que Michel Parys se situe entre ces deux pôles ; Le peintre peut nous être plus ou moins sympathique- ou proche- mais ce qui nous attire dans sa relation avec l’art, c’est l’intensité de sa réflexion ; ce qui aujourd’hui nous touche le plus dans l’œuvre de Parys, c’est la force de sa réflexion sur l’acte de création : la contemplation de ses œuvres suscite en nous un désir de réflexion, de cheminement à la recherche de nous-mêmes ;Nous voici qui parcourons cette terre de sienne,ces terres brulées, striées de bleu de prusse, parmi les ocres et les jaunes juxtaposés, dans une dimension d’où la perspective est volontairement absente, mais qui n’en est pas moins résolument architecturale, tandis que l’esprit et le souvenir nous entrainent vers certaines églises paléo-chrétiennes de Rome ou d’Anatolie,vers les fresques d’une basilique qui aurait traversé les siècles et dont les murs auraient été très légèrement, imperceptiblement déplacés, remettant en cause le plan d’origine .

La modernité de l’œuvre de Parys est toute entière dans ce déplacement : tandis que nous avançons, accomodant notre œil à chaque changement de direction, à chaquesubtile variation du déroulement picturale, nous pensons à ce que signifie pour nos créer et vivre et par association, au travail de Parys : il naît en nous un sentiment de malaise, tandis que notre méditation poursuit sa route vers les profondeurs . Les tableaux de Parys, fruits d’une réflexion, d’une étude attentive de la peinture, ne sont pas fait pour plaire à tous,ne sont pas peints pour harmoniser, calmer ,éteindre, diluer les contrastes, ils nous sont donnés dans toutes leur contradiction synoptique, entre notre œil et le sien, pour nous inciter à penser : le plaisir ne  vient pas tout de suite face à une toile de Parys : nous pensons, nous enquétons, nous nous souvenons…si nous le pouvons encore ;

Voici alors que l’extraordinaire et palpitante fluidité du support pictural, de la matière colorée, devient le flux même de notre affabulation inconsciente et que l’on jouit esthètiquement de ce voyage qui conserve la pureté contradictoire de la réfléxion.

Deux dimensions se font dans l’œuvre de Parys : celle de la matière et celle d e l’émotion, qui se fondent dans la suite de notre réflexion déçue, comme certaines cruelles histoires de saints et de martyrs, ces fresques un peu effaçées par le temps, peintes par un maître anonyme sur les  murs d’une basilique : avant l’harmonie, avant la perspective. Elles seraient à leur place en un tel lieu, ces toiles, suspendues comme des icônes frémissantes, scandant un parcours ou plutôt un éxode, de la cathédrale, vers la cathédrale.

 

Domenico Cioffarelli  1994

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6 juin 2005 1 06 /06 /juin /2005 19:39
L'amour de la géométrie ne mène pas forcément à l'exactitude, surtout quand elle est revisitée par Michel Parys.
Au contraire, elle est ici une porte sur la spéculation, l'introspection.
La couleur est la partenaire avisée qui agit à la manière de traces archéologiques.
Résidus de fresques renaissantes, provocations d'abstractions,sa peinture, s'il fallait  tenter d'en donner une définition est une peinture de grattage, c'est à dire de redécouverte.

Prière de s'emparer de l'évènement que constitue la contemplation del'oeuvre avec si possible la volonté d'analyser le format, encadrant subtil du tout.
Plan d'architecture que l'oeil regarde du dessus, ce n'est pas tant le haut et le bas qui en définissent l'orientation, que le face à face "oeuvre-contemplateur".

Il élève à sa façon Malévitch au rang du baroque.

Parys? ...le fond et la forme

Christian Eclimont, aout 1994
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5 juin 2005 7 05 /06 /juin /2005 15:48

      LA GEOMETRIE POETIQUE DE MICHEL PARYS 

 

Tandis qu’hier les assemblages de papier de michel Parys s’écartaient du mur nous proposant de voir transparence et légèreté, la toile d’aujourd’hui recueille sur la simplicité d’un enduit qui respecte son tissage et sa teinte d’origine, la combinatoire raffinée de formes pareillement légères et transparentes. Comme hier les baguettes de bois soutenaient la tarlatane ou les papiers de soie peints en une complexe et fragile configuration, des cernes soutiennent sur la toile ses formes, qui fusionnent parfois l’une en l’autre, en un arrangement mouvant mais nécessaire.

 

Michel Parys lentement médite l’espace / lumière. L’irradiation primaire , celle du soleil, est le seul « vol », pour reprendre une expression de Malévitch, que le peintre fait à la nature. Ce jaune intense se laisse parfois interroger, sa pâte s’alourdit en des profondeurs chromatiques qui réapparaissent au flan des formes, ou s’allège en se laissant conquérir par les blancs, les games de gris ou les noirs. Les plans de couleurs explorent rarement l’au-delà des cernes,qui intensifient leurs vibrations comme ils guident les formes, grilles de prescription et non de fermeture . Si parfois les cernes contrarient l’engendrement des formes, c’est pour faire surgir un nouvel équilibre, ou pour créer des clases qui créer la matière picturale, l’écartèlent pour en mieux sonder le correspondances colorées,  Lorsque le cerne manque, la configuration de vient plus fluide, le pigment trouve sa limite dans le seul reflux de la toile.

 

Chez Michel Parys, les oppositions sont de lumières par le jeu des couleurs mais surtout de limpidité et d’opacité, comme s’il voulait à travers elles nous inviter à mieux regarder la transparence lumineuse qui nous entoure et que nous négligeons de percevoir dans un monde du plein à craquer ;  L’opacité elle-même est travaillé de façon à devenir transparente, elle supporte à son tour le vocabulaire de l’aérien.

 

 Et lorsque le dessin semble triompher, ce n’est jamais au péril de la peinture .  Leur collaboration étroite répond ainsi au souci de Michel Parys, qui est de parler de la combinatoire du réel comme le ferait un architecte poète soucieux des masses autant que de leur mystérieux accords graphiques, de la lumière autant que de ses jeux sans cesse recréant l’ombre, produisant tout ensemble espace et sens.

 

Marie-José Minassian1993

 

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